
En toute honnêteté, je suis aussi excité qu’à la veille du lancement de mon recueil de nouvelles La Plage des songes et autres récits d’exil (CIDIHCA, 1988), mon tout premier bouquin, il y a bientôt 31 ans. J’ai terminé cette semaine la dernière révision des épreuves de mon vingt-cinquième opus, De préférence la nuit, un recueil d’essais sur le jazz et quelques-unes de ses figures emblématiques, à paraître le 17 septembre chez Boréal, dans la collection Liberté Grande que dirige mon ami l’irrépréhensible Robert Lévesque.
Pour le spectacle de lancement officiel le 25 septembre au Petit Outremont à l’occasion du Festival international de la littérature (FIL), j’en lirai des extraits, accompagné par mon âme damnée l’Amiral Anthony Rozankovic (piano et direction musicale), Samuel Blais (saxophones et clarinettes) et Michel Donato (contrebasse). L’écrivain et mélomane Gilles Archambault, qui a préfacé l’ouvrage, agira à titre de maître de cérémonie.